Départ dès le vendredi après-midi pour couper le trajet (650 km) en deux. Après une nuit à Belfort, notre 1er repas allemand en Forêt-Noire et déjà, on se met dans l’ambiance et la gastronomie locale (surtout la boisson …). Suivrons de chaleureuses retrouvailles à Tübingen.
Traversée par la rivière Neckar, la ville regorge de maisons anciennes et colorées. Depuis l’hôtel, nous avons une très jolie vue sur les hauteurs, où siègent d’imposantes demeures bourgeoises.
Samedi soir, dîner en terrasse au Boxenstopp, qui n’est pas qu’un restaurant. Mr. KLING (ancien pilote de course) a transformé une grande partie du bâtiment en un musée qui recèle d’innombrables trésors.
Dimanche, escapade à Stuttgart pour la visite du Musée Mercedes. Avant même d’entrer, on a profité du parking, un vrai musée à lui tout seul ; en à peine ¼ d’heure, on a vu arriver pas moins de trois 300 SL !
Ambiance feutrée et ballet de lumières pour mettre en valeur une collection exceptionnelle qui s’étale sur 8 étages.
Déjeuner au musée puis retour à Tübingen par les petites routes sinuant entre les vignobles de la région.
Lundi matin, château Hohenzollern. Pantoufles obligatoires pour ne pas abîmer les parquets ! Amusant, mais un peu casse-gueule car les pointures taillent un peu grand …
Photo volée de ce qu’on a pu admirer à l’intérieur, avec une guide à l’accent prononcé, mais absolument charmante.
Le Haras de Marbach : placé sous l’autorité du Land, il fête cette année ces 500 ans. Dommage, la galerie des attelages n’était pas ouverte et pas grand-chose à visiter, mais de très beaux bâtiments.
Changement d’ambiance mardi matin pour le musée Porsche, blanc du sol au plafond. Très belle collection également, notamment avec une pléiade de 917 ayant couru au Mans (A. Quatresous n’en est pas encore revenu !)
Petite halte au « Domaine de la Solitude » ; construit à partir de 1764 à l’initiative du duc Carl Eugen, il abrite des salons exceptionnels, ainsi qu’une académie destinée à promouvoir de jeunes artistes. On peut aussi y profiter d’une vue imprenable sur Stuttgart.
Au retour, le merveilleux cloître de Bebenhausen a récompensé les curieux qui ont fait l’effort de s’arrêter.
Mercredi, journée de transition pour quitter Tübingen et rallier Ravensburg. Arrêt à Rottweil pour visiter la tour Thyssen-Krupp ; 232 m de haut, montée en 30 secondes en ascenseur pour profiter de la vue, bien gâchée par un temps épouvantable qui nous a accompagné tout au long de la route.
Après un déjeuner organisé au dernier moment, de très jolies découvertes sur le parcours (encore un cloître), le château d’Heiligenberg d’où l’on a seulement pu deviner le lac de Constance …
Jeudi, pour nous reposer du voyage de la veille, nous avons pris un train à vapeur historique. Il y avait bien un wagon-bar, mais nos amis allemands avaient prévu sandwiches et boissons. Lors de la pause, certains ont visité le musée du bouton.
La route du retour nous a conduits au musée HYMER, présentant, dans une mise en scène très ludique et plaisante, une belle collection de caravanes et autres camping-cars ; il y en a même pour les chiens ! On avait tous un a priori négatif sur cette visite et, après le dîner sur place, on en est tous ressortis enchantés.
Photos 45 et 46 : Vendredi, un groupe est parti à l’assaut du château de Neuschwantein tandis que l’autre s’est promené sur les routes de l’Allgaü, entre lacs et montagnes.
Soirée de gala, avec traditionnelle « remise des maillots » et l’échange de cadeaux. Tandis que Reiner et Peter soulignaient à juste titre l’implication d’André dans l’initiative et la longévité de nos rencontres, Pit et Alex trinquaient à l’amitié !
Voilà, c’est presque fini. Un dernier détour samedi matin par Friedrichshaffen pour profiter du musée Zeppelin, puis retour en France ; là, « chacun sa route, chacun son chemin » pour arriver à Morschwiller.
Dimanche midi, notre dernier pique-nique au bord d’un canal, avant de rallier Vichy sous une pluie battante, qui ne nous laissera tranquilles qu’en arrivant à Lapalisse, pour le dernier au-revoir.
Merci à Peter et Rainer pour cette semaine pleine de découvertes, merci à Laura et Margrit pour leur précieuse assistance linguistique.
2020, la Normandie nous tend les bras pour la prochaine rencontre.
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