En cette journée un peu spéciale, 9 équipages s’étaient mis sur les rangs pour aller explorer le Dauphiné d’Auvergne, autour d’Issoire.
Au programme, le château de Saint-Cirgues sur Couze, où nous avons été accueillis par Alexis et Kilian, jeunes bénévoles engagés auprès de 40 autres dans la restauration des bâtiments, qui ont été victimes d’un incendie ravageur en 1990. Beaucoup de travail attend encore cette association, avec le projet d’installer des salles de classe, entre autres, dans le cadre d’un regroupement pédagogique. Le naturel et la gentillesse de nos 2 guides nous ont touchés et nous avons eu plaisir à leur laisser un petit souvenir de notre passage. https://www.chateau-saint-cirgues-sur-couze.fr/le-chateau/histoire/
La météo prévoyant un temps plus que maussade, le pique-nique a finalement eu lieu à l’abri, au château de Chalus. M. Jean-François NUGER nous avait en effet mis à disposition une grande salle datant du XVème siècle, ce qui nous a permis de déjeuner sereinement. Puis, nous avons découvert toute l’histoire et la restauration de ce très bel édifice qui surplombe la vallée du Lembron. C’est l’une des rares propriétés de ce type à avoir appartenu à seulement 3 familles depuis sa construction aux alentours de 1250 ! Pour plus d’info https://www.chateau-chalus.com
Une pluie soutenue ayant fait son apparition dans l’après-midi, le programme de fin de journée a été modifié : nous avons donc profité de la dernière visite au château de Villeneuve-Lembron, construit entre XVème et XVIème par Rigaud d’Aureille, bailli des montagnes d’Auvergne, maître d’hôtel de 4 rois (dont François 1er), et célèbre notamment pour ses peintures. http://www.chateau-villeneuve-lembron.fr/
Pour le retour, nous avons tout de même suivi le trajet du road-book, qui devait nous mener au site du Chastel à Saint-Floret, mais malheureusement sans pouvoir s’arrêter tant il pleuvait ; puis Champeix et Corent, village vigneron connu pour ses fouilles archéologiques et pour son rosé.
Un dernier arrêt rapide pour se dire au-revoir et se promettre de retourner profiter des paysages de ce petit coin d’Auvergne un peu moins connu, un jour où le soleil ne nous laissera pas tomber en route !
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